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"?a fait trente ans que les plans se succèdent, sans résultats, déplore ?t, président de l'association environnement. Le diagnostic est connu, mais les dirigeants de la chambre d'agriculture ont un dogme : on ne diminuera pas la production. Quand [url=http://www.jordanpascherofficiel.com]air jordan[/url] ils parlent de "mutualiser" les zones d'épandage, nous savons que cela signifie les derniers espaces indemnes pour y épandre du [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] lisier."
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Dans la belle baie vallonnée de Douarnenez, le littoral alterne sites épargnés ou fra?chement nettoyés, anses tachées d'un tapis couleur laitue à l'embouchure d'un petit cours [url=http://www.jordanpascherofficiel.com]air jordan pas cher[/url] d'eau, et criques totalement recouvertes comme celle de Ty Anquer. Sur le parking, se dresse un panneau que l'on retrouve à plusieurs reprises le long du littoral. Fatalement vert, il [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] alerte sur les dangers des tas d'ulves en décomposition et s'orne d'un curieux jeu graphique réalisé avec les lettres "H2S", comme hydrogène sulfuré, le gaz accusé d' tué chiens, sangliers et cheval les étés précédents.
Présentée officiellement le 24 juillet, la "charte de territoire" de Douarnenez, censée déterminer les actions de prévention contre cette prolifération nauséabonde - c'est-à-dire réduire les fuites massives d'azote vers la mer - suscite l'opposition unanime des associations régionales de de l'environnement qui la jugent insuffisante. Ses financeurs, Etat et collectivités locales, devraient la quand même à l'automne. Ce programme fait partie du plan de "reconquête de la qualité de l'eau", annoncé par le gouvernement de Fran?ois Fillon en 2010 et mobilisant 134 millions d'euros. Il cible les huit bassins versants les plus touchés. Trois [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] de ces chartes ont été adoptées avant celle de Douarnenez. Les autres se négocient avec la profession agricole.
"UN NOUVEAU MOD?LE AGRICOLE"
A lui seul, le ramassage des ulves co?te près de 1,3 million d'euros par an. Sans le traitement des tas d'ulves gorgées d'eau et de [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] sable, ni les [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] impacts économiques (tourisme, pêche, conchyliculture, ), ni les problèmes de santé publique qui s'élargissent aux proliférations de micro-algues. La charte de Douarnenez prévoit des subventions pour plus de cultures biologiques, un peu plus de prairies et de zones humides, et une substantielle pour quelques exploitations d'unités de méthanisation. Sans les écologistes.
CHARLATAN
En tant [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] qu'éleveur bien installé (100 vaches, 325 truies soit 8 700 porcs par an), il est s?r que la méthanisation réglera le problème : une fois réduit en digestat, l'azote sera bien plus facile à que sous forme de lisier. Cette nouvelle technologie lui permettra, en plus, de de l'énergie et du chauffage. Quant [url=http://www.m-and-g.com/cgi/joyful.cgi]barbour outlet Mauvaise élève[/url] aux difficultés [url=http://www.worldbike.fora.pl/zawody-lub-maratony,7/hollister-france-courage-ayons-peur,3183.html#3463]hollister france Courage, ayons peur ![/url] de cohabitation, André Sergent a quelques pour [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] les résoudre : "Tout le monde rêve d' deux ou trois hectares autour de chez lui. Il faut arrêter de rêver, les constructions diffuses et les gens dans des zones urbanisables." Sans maisons dans la campagne, ni campings aux abords du littoral, il est s?r que les cultures pourraient déborder plus à l'aise...
, seraient bien tentés de se [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] résigner à avec. Après le répit d'un mois de juillet maussade, Ulva armoricana prospère à nouveau au soleil, mais ne finit-on pas toujours par dénicher un petit coin dégagé pour sa serviette de bain ?
Pris entre les atermoiements de l'Etat et le refus d'évoluer des élus agricoles - que l'ensemble de la profession ne partage [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] pas -, les militants guettent les augures sur le terrain judiciaire. Lorsque l'autorisation d' encore un méga-élevage de porcs est annulée, c'est un bon point. Lorsqu'un chercheur de l'Ifremer, Jean-Yves Piriou, est condamné pour qualifié de charlatan le seul scientifique niant le rapport entre les quantités massives d'azote rejetées par l'agriculture intensive et les marées vertes, c'est mauvais signe. Et lorsque le syndicat agricole majoritaire attaque avec succès la réglementation protégeant les captages d'eau potable, c'est inquiétant.
"Depuis quinze ans, nous avons beaucoup évolué. Ceux qui viennent nous des le?ons sont des égo?stes", assène le vice-président de la chambre d'agriculture du Finistère, André Sergent. Il admet du bout des lèvres le lien entre son activité et les rejets d'azote, dont le dernier rapport ministériel [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] conclut qu'ils proviennent à 90 % au moins de l'agriculture. Mais il se trouve toujours, selon lui, une baie qui permet de .
La ministre de l'écologie, , menace d' avec autorité des "zones soumises à contraintes environnementales", à l'encontre de deux bassins récalcitrants, ceux de La Fresnaye (C?tes-d'Armor) et Guillec-Horn (Finistère), qui ne parviennent pas à . Elle assure qu'avec son homologue de l'agriculture, elle va "engager un travail pour vers un nouveau modèle agricole en Bretagne." Etablir de nouvelles règles s'impose, explique-t-elle, puisqu'il "va bien à nos obligations européennes". La ministre annonce la formation d'une "mission parlementaire [url=http://bbs.ycdlwx.com/viewtopic.php?pid=673251#p673251]hollister france La morale la que, culture commune nécessaire au ciment dune société[/url] sur le non-respect de la restauration de la qualité de l'eau à l'horizon 2015". Incapable de la situation, la France encourt une sanction de 28 millions d'euros devant la Cour de de l'.