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, sont aussi de redoutables cracheurs de feu. Plus exactement, ils sont capables d'éjecter violemment des particules en deux jets opposés sur des distances de plusieurs centaines de milliers d'années lumière. L'énergie mise en jeu est si forte que les gaz et poussières du voisinage sont transformés en plasma de particules chargées filant à des vitesses proches de celle de la lumière.
"L'espoir est de un jour à haute résolution la silhouette complète d'un trou noir et de son disque d'accrétion", précise Eric Gourgoulhon du laboratoire Univers et théorie de l'Observatoire de Paris-Meudon. Dans cette quête, plusieurs projets sont en lice et devraient débuter dès 2012 comme Black Hole au Chili, proposé par des Japonais, ou bien Gravity à l'observatoire européen [url=http://xhcbwz.com/E_GuestBook.asp]jordan pas[/url] du ou encore , piloté par le MIT.
Est-ce à cause de la rotation du trou noir, qui entra?ne avec lui l'espace-temps [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] à [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] ses abords ? Ou bien est-ce la matière accrétée autour de ce centre massif qui, par friction notamment, [url=http://www.blzqxf.gov.cn/xitong/E_GuestBook.asp]louboutin[/url] éjecterait des particules ? Et pourquoi pas un mélange des deux, l'un donnant l'impulsion initiale, exaltée ensuite par le second ? Pour entre les hypothèses, il faudra encore améliorer la précision des clichés.
"C'est une observation très précise associée à une extrapolation des mesures astucieuse. Elle n'apporte pas encore de réponse définitive sur les mécanismes à l'oeuvre mais ouvre la voie à de futures images toujours plus proches de l'horizon du trou noir", constate Gilles Henri, du Laboratoire d'astrophysique de l'Observatoire de Grenoble (université Joseph-Fourier-CNRS). Les théoriciens sont en effet devant une énigme. D'où vient l'énergie [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich[/url] gigantesque qui propulse ces particules ?
L'existence de ces [url=http://www.mnfruit.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] émissions est connue depuis un siècle, mais, dans la revue Nature du jeudi 8 septembre, une équipe japonaise de l'Observatoire astronomique de Tokyo vient de présenter des clichés étonnants de l'un des plus proches et plus actifs trous noirs de notre [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] voisinage galactique, levant un coin du sur ce phénomène spectaculaire.
Le Monde.fr a le plaisir de vous la lecture de [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] cet article habituellement réservé aux abonnés du Monde.fr.Profitez de tous les [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] articles réservés du [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] Monde.fr en
Gr?ce au réseau de télescopes américains VLBA d'Hawa?, ces astronomes ont capté, à plusieurs fréquences, le rayonnement radio de ces jets crachés par le trou noir au [url=http://www.xrxdezx.cn/wygkcn_GuestBook.asp]boots ugg[/url] centre de la galaxie M87, à plus de 50 millions d'années-lumière de la n?tre. A leur grande surprise, ils ont découvert que la base de ces gerbes coniques est excessivement proche du monstre pesant plus [url=http://www.mnfruit.com/louboutinpascher.php]louboutin pas cher[/url] de 6 milliards de Soleil et large comme le système solaire. Alors que d'autres mesures situaient l'origine de ces éjections à une distance équivalente à des centaines, voire [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany[/url] à plusieurs milliers de rayons du trou noir, les Japonais l'ont détecté entre 14 et 23 rayons du [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] . Autant que le phénomène a lieu tout près de la frontière, appelée horizon, en de?à de laquelle tout ce qui rentre ne ressort plus. A quelques encablures au-delà [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] de ce seuil, la matière interstellaire peut, tels des planètes ou des satellites autour d'une étoile, en orbite stable autour de cette masse, formant un disque d'accrétion.