ckejyetf9k
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Posted: Sat 9:17, 19 Oct 2013 Post subject: louboutin pas cher Parker Harris 100 % des appl |
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On entend de plus en plus ou SAP de cloud... Ils vont leur modèle pour y , de la licence à [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] l'abonnement. commence déjà à le pour Office, sa suite bureautique. Les clients poussent l'entreprise à , de toute fa?on.
Et les grands acteurs de l'informatique traditionnelle vont s'y aussi ?
Avez-vous l'intention d' chasser sur leurs terres ?
Qui basculera en dernier ?
Les logiciels ont toujours été compliqués à et à . Pour nous en , nous leur expliquions que nous ne vendions pas une application mais une plate-forme paramétrable qu'ils pouvaient à [url=http://www.jeremyparendt.com/jimmy-choo.php]jimmy choo chaussures[/url] leur guise. Les banques ne travaillent pas comme les assurances ni comme le secteur [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister deutschland[/url] . Il faut la manière de les données, l'ergonomie... simple mais à [url=http://www.lcdmo.com/hollister.php]hollister france[/url] chaque fois.
La première vient du . L'influence de est énorme, elle change la manière de , en individualisant les relations. On doit conna?tre le nom de chaque salarié. Une société comme Yammer, rachetée récemment par Microsoft, est représentative de cette tendance.
.com s'est-il lancé à l' ?
Le Monde.fr a le plaisir de vous [url=http://www.osterblade.com]moncler sito ufficiale[/url] la lecture de cet article habituellement réservé aux abonnés du Monde.fr.Profitez de tous les articles réservés du Monde.fr en
La conviction que l'on devait l'utilisation d'un comme un service, aussi simplement que l'on achète un livre sur . Plut?t que de les directions informatiques, nous voulions les utilisateurs, même si l'ergonomie de nos était encore rudimentaire.
Nous appliquons aussi la règle du "1/1/1" : nous donnons 1 % de nos capitaux propres chaque année à notre fondation, 1 % du temps de temps de nos employés [url=http://www.fayatindia.com/giuseppe-zanotti.html]giuseppe zanotti pas cher[/url] à des oeuvres, et nous réservons 1 % des abonnements Salesforce.com que nous cédons gratuitement à des associations. Cela nous à des bons salariés et cela nous donne une bonne image auprès des clients.
C'est vrai. Aujourd'hui, chaque société est une cible potentielle. Nous, comme tous nos clients. Nous travaillons avec les responsables de la sécurité de nos gros clients, comme Axa, Renault ou , des financiers et même le gouvernement américain. Cela nous permet de beaucoup de moyens de , puis de les à tous nos clients ensuite, le cas échéant. Nous nous améliorons sans cesse.
L'autre révolution, c'est la mobilité. Cela changera encore plus de choses que le cloud, et [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/]abercrombie pas cher[/url] même qu'Internet. Pour le mobile, nous avons entièrement repensé et redessiné notre offre, notre technologie et notre interface. Il faut s' à ce nouveau monde, pour ne pas se par ceux qui arrivent...
Les directions financières des entreprises et les gouvernements. Ils vont de si tout se passe bien...
Nous faisons avant tout des applications dédiées à la relation client en restant centrés sur l'utilisateur. On veut sur le front-office, en intégrant les autres systèmes, y compris ceux d'Oracle, IBM, SAP ou Microsoft. Même si, à terme, on restera concurrent sur certains produits.
Quels ont été vos premiers clients ?
100 % ! Cela prendra du temps, car aujourd'hui, beaucoup de [url=http://www.shewyne.com/woolrichoutlet.html]woolrich outlet[/url] logiciels sont déjà installés. Mais tout va d'ici une quinzaine d'années. Regardez les connectées, chez Renault ou Tesla : comment le véhicule aux données de maintenance ou de localisation, si ce n'est avec le cloud ?
Une application Web ne pose-t-elle pas des risques spécifiques en matière [url=http://www.jeremyparendt.com/Hollister-b5.php]hollister france[/url] de sécurité ?
Quelle part des applications informatiques va dans le cloud ?
Nous avons commencé par le . [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour pas cher soldes[/url] [url=http://www.idlirasam.net/gallery/displayimage.php?pid=51&page=3]Abandon de lencadrement des salaires le gouvernement se justifie[/url] C'est un pays où l'on met du temps à . Puis nous sommes venus en Europe. Là aussi, les choses furent longues à . Au départ, nous nous étions lancés dans beaucoup de pays européens. C'était une mauvaise stratégie. Désormais, nous concentrons nos forces sur quelques Etats : la France, l', les et le . En 2012, c'est en Europe que nous avons connu la plus forte croissance (38 %). Et la France est l'un de nos marchés les plus dynamiques avec de très gros clients. Nous avons acheté récemment une petite équipe spécialisée dans les et basée à Grenoble. Cette ville est un incroyable vivier.
C'est-à-dire ?
Il faut intégrer notre plate-forme au reste du système. C'est le r?le des directeurs informatiques. La première question qu'ils nous posent, c'est : où les données sont-elles hébergées ? La deuxième, c'est : comment contr?ler la qualité et la performance du système ? Ils se sentent responsables de cet aspect des choses. Pour les , nous avons mis en ligne un site (Trust.salesforce.com), où les statistiques de nos solutions sont publiques. C'est avant tout une question de confiance. En , la question de la confidentialité des données et de leur localisation est sensible. Nous devons encore les choses.
Pour les directeurs informatiques... Comment ont-ils réagi ?
On savait que le cloud allait massif, qu'on pouvait de Salesforce.com un groupe puissant. Mais on ne savait pas combien de temps cela pouvait . Le déclic est venu en 2004, lorsque nous avons signé avec SunTrust, une banque d'Atlanta (). Un gros client, qui nous a permis ensuite d'en d'autres, encore plus gros, comme Merrill Lynch [banque d'investissement américaine], qui voulait éviter de les frais d'installation des logiciels dans toutes les filiales. Et ainsi de suite...
Au départ, quelle est l'idée qui a conduit à la création de Salesforce.com ?
Mais les logiciels comme le v?tre, vendus directement [url=http://ilms-saga.jp/cgi-def/admin/C-002/notice-board/visit/main.pl?PAGE_NUM=1%2525255Dfarmville]abercrombie pas cher Come Cre[/url] aux utilisateurs, ne signifient-ils pas la mort des directions informatiques ?
Après Internet puis le cloud, quelles seront les prochaines révolutions de l'informatique et donc vos futurs concurrents ?
Salesforce.com est le plus grand succès de l'économie du cloud computing. Lancée en 1999, la société américaine affiche un chiffre d'affaires de 3 milliards de dollars (environ 2,3 milliards d'euros) en 2012 et compte déjà plus de 10 000 salariés. Aux c?tés [url=http://cgi.ebay.com.au/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&item=140751362926]hollister france What is a Wh[/url] de , le PDG, a cocréé ce nouveau mastodonte informatique. Il supervise aujourd'hui la stratégie produits de l'entreprise basée en Californie.
Nous avons été les premiers à des solutions informatiques gr?ce au Web : on pouvait en ligne, avec sa carte de crédit. Dans la logique Internet - avant d' -, nous avons offert un an de services gratuits, dans la limite des cinq premiers salariés. Les utilisateurs, surtout des commerciaux qui n'aimaient pas leur système informatique maison, nous trouvaient [url=http://www.shewyne.com/moncleroutlet.html]moncler sito ufficiale[/url] ainsi en ligne et s'abonnaient gratuitement. Puis nous avons envoyé nos propres commerciaux dans les entreprises en question.
Nous avons tout [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour france paris[/url] de suite eu du succès auprès des petites de la . Puis peu à peu, nous avons trouvé des clients de plus en plus gros. Nous n'avions pas de concurrents, mis à part la version , et nous avons toujours fait beaucoup de marketing.
Pensiez-vous un tel succès ?
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