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LA BANDE-ANNONCE
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Dans Sublimes créatures, les mages blancs et les mages noirs, avec un détail à hurler plus d'une mère féministe qui feuilletterait distraitement l'exemplaire de 16 lunes trouvé sur la table [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] de chevet de sa fille : si les jeunes gar?ons sont libres de leur camp, les demoiselles, en revanche, sont étiquetées sans qu'on leur demande leur avis.
La tiare en plastique de "Miss Twilight 2.0" fait cependant du tort au film à bien des égards. Certes, on sent rapidement les similarités dans la matière première : 16 lunes, comme la saga vampirico-niaiseuse de , [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] réduit la construction du moi adulte au choix d'un camp par opposition au camp ennemi. Dans Twilight, les loups d'un c?té, les vampires de l'autre, avec une subdivision tardive entre gentils vampires et méchants vampires ( : ceux qui aiment bien l'héro?ne et ceux qui ne l'aiment pas).
Le Monde.fr a le plaisir de vous la lecture de cet article habituellement [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] réservé aux abonnés du Monde.fr.Profitez de tous les articles réservés du Monde.fr en
"Vous avez aimé Twilight, vous allez adorer Sublimes créatures !", peut-on en haut de l'affiche du film. L'affirmation laisse songeur. Tout d'abord, elle ressemble [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] d'un peu trop près à [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] un impératif pour que l'on ne se sente pas piqué par l'arrogance commerciale [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] que l'on sent derrière, et le déni implicite de notre droit fondamental à ne pas Twilight. Ensuite, elle exhibe sans vergogne une parenté peu flatteuse que l'on hésite à caractériser : variante ? Broderie sur un même thème ? Copié-collé ? Revu et corrigé ? Qu'importe, puisqu'il semble acquis que nous allons au quémander l'éternel retour du même. Nous n'avons pas le choix : nous allons l'.
Qu'y a-t-il donc à ? Sous le grand cirque magico-commercial, le tableau d'un amour naissant, assez bien écrit et plut?t bien filmé, où deux beaux jeunes acteurs (Alice Englert, fille de la réalisatrice Jane Campion, et le bien rare Alden Ehrenreich, révélé par Francis Ford [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] Coppola dans Tetro) parlent avec des mots [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] simples mais sans vulgarité de ces choses un peu trop graves pour leur ?ge qui leur laisseront une jolie mélancolie d'enfants frustrés d'enfance. Rien de ridicule à ses enfants le petit film charmant caché sous le prêt-à-consommer banal : s'ils ont aimé Twilight, espérons qu'ils [url=http://www.lybnh.com/bbs/home.php?mod=space&uid=142445][/url] vont Sublimes créatures.
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Et cependant, si Sublimes créatures s'avère en effet être un Twilight 2.0, c'est [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] dans le bon sens du terme. Conventionnel, brouillon et tire-au-flanc dans [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] son rapport aux effets spéciaux, qui aurait pu lieu à des créations charmantes, assez pataud dans ses débuts et franchement lourdaud dans son final, Sublimes créatures n'est pourtant pas ce que Twilight a persisté à être sur toute la longueur de la saga : un film ridicule.