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L'influence saoudienne, comme celle de l'Egypte, est disputée. Avant même que [url=http://cgi.ebay.co.uk/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&rd=1&item=350246077266&ssPageName=STRK:MESE:IT]louboutin Twitter autorisé da[/url] le président Zine El-Abidine Ben Ali ne sollicite, le 14 janvier, son hospitalité - l'Arabie saoudite s'est froidement résignée à la lui -, le royaume avait enregistré, en effet, un échec cuisant au avec la démission du premier ministre, Saad Hariri (l'un de ses protégés qui dispose, d'ailleurs, de la nationalité saoudienne), puis la nomination d'un premier ministre sunnite placé, nolens volens, dans l'orbite du Hezbollah chiite. Après des années de brouille, Riyad s'était réconcilié avec Damas, en 2009, en espérant le soutien du président Bachar Al-Assad pour le Liban. Le roi Abdallah avait finalement mis ses pas dans ceux de avec un an de retard. Au final en pure perte.
Avec une Egypte paralysée pour longtemps par ses tumultes intérieurs, cet [url=http://www.eastscotinvest.co.uk/mulberry.html]mulberry sale[/url] axe perd l'un de ses [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] deux principaux moteurs. Même diminuée par le vieillissement du régime et la réduction de son influence régionale aux affaires palestiniennes, l'Egypte conservait jusqu'à présent des atouts : un [url=http://www.bankonco.com/hollister.php]hollister france[/url] appareil et un savoir-faire diplomatiques sans équivalent dans la région et une puissance économique émergente.
Le second moteur arabe, le saoudien, n'est pas sans défaillances, alors que la Jordanie conna?t également quelques troubles. La convalescence du roi saoudien Abdallah au , après des opérations du dos subies aux Etats-Unis, en décembre 2010, a mis en évidence la fragilité d'une dynastie confrontée à la perspective de successions répétées compte tenu de l'?ge avancé du roi (86 ans), de celui du [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] prince héritier, Sultan (83 ans), et du suivant dans l'ordre de succession, le prince [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] Nayef (77 ans).
Ces pays [url=http://www.bankonco.com/hollister.php]hollister[/url] ont sous-traité, de longue date, leur sécurité aux troupes américaines stationnées dans la région, au comme au . Ils sont [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] également dépendants des équipements procurés par le Pentagone. On conna?t le levier que procure, à Washington, [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] l' militaire apportée à l'Egypte et on a pu également cette sujétion, de novembre 2009 à février 2010, lors de [url=http://www.eastscotinvest.co.uk/mulberry.html]mulberry outlet[/url] l'intervention saoudienne contre la rébellion yéménite installée sur sa frontière. Cette introspection ne peut donc qu'être que [link widoczny dla zalogowanych]
Silencieux pendant la révolution tunisienne, inquiets par la tournure prise par les événements en , les monarchies autoritaires de la région ne peuvent qu'être déstabilisées par la succession de déclarations américaines incitant le président Hosni Moubarak à répondre au plus vite à la pression de sa rue.
A cette incertitude relative (la dynastie a toujours su s' pour préserver l'essentiel, [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] la maison Saoud) s'ajoutent des dysfonctionnements de l'Etat saoudien. En témoignent symboliquement ses carences lors des inondations massives qui ont frappé la grande ville de Djedda, le 26 janvier, un peu plus d'un an après de premières crues meurtrières, sans qu'entre-temps cette hyperpuissance pétrolière ait pris les dispositions adéquates. L'Arabie saoudite est riche, membre du G20, influente sur le marché pétrolier, mais elle compte aussi une jeune, nombreuse et, de notoriété publique, très mal préparée par un système éducatif peu performant à un r?le dans l'économie du pays, en dépit de la volonté de réforme affichée par le roi.
L' est sortie de sa réserve traditionnelle en tonnant, jeudi 10 février, contre "l'ingérence de certains pays [url=http://music.nenu.edu.cn/syqjpk/upload/forum.php?mod=viewthread&tid=5518974]hollister france Les grandes mesures votées par les députés dans le cadre du[/url] étrangers". Pour [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] la dynastie saoudienne, les Etats-Unis alimentent la contestation par ces prises de position pressantes. Qu'un pays affaiblisse ainsi son allié leur para?t inconcevable et incompréhensible, surtout dans un contexte régional où tout ce qui pénalise l'axe des pays arabes présentés comme "modérés" (c'est-à-dire proches des Occidentaux) renforce le voisin iranien déjà débarrassé de l'endiguement assuré par l' à la suite de l'invasion américaine de 2003.
En l'état, le bilan d'étape que peuvent les principaux régimes sunnites du de la vague de révolte partie de Sidi Bouzid, en , le 17 décembre 2010, ne peut qu' leur inquiétude. Déjà dé?us de l'impuissance américaine dans la gestion du dossier israélo-palestinien, rendus perplexes par les ouvertures faites par Washington à l'attention de Téhéran, qui alimentent leur hantise d'un renversement d'alliances, ces régimes peuvent [url=http://cp.auto.dzwww.com/cp.php?ac=blog&op=list]www.mansmanifesto.com Rythmes scolaires Kosciusk[/url] désormais de la solidité de leurs liens avec [url=http://www.materialistanyces.com]louboutin[/url] les Etats-Unis à l'épreuve de ces revendications pour plus de démocratie.
, tous ont gardé en mémoire le sort du chah d'. Pièce ma?tresse de l'endiguement soviétique et d'un "grand jeu" pétrolier mis en place par Washington, après le renversement du premier ministre, Mohammad Mossadegh, en 1953, cet autocrate fut abandonné en rase campagne, une génération plus tard, par une administration américaine qui le jugeait désormais indéfendable.