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ckejyetf9k

Les habitants d'une enclave cernée des colonies israéliennes n'osent pas [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] croire au départ des colons.
envoyé spécial.

située sur le bord d'une route reliant la route des colons de Gush Katif aux cabanons construits sur la plage, qualifiés paradoxalement ? d'avant-postes illégaux ? par les autorités israéliennes. Un peu entre deux feux, en quelque sorte, il ne cache pas son inquiétude : ? Il ne nous reste de la nourriture que pour dix jours. ? Personne ne les a tenus informés du déroulement du retrait, ni de ce qu'ils avaient le droit de faire. Ils restent donc chez eux, ? parce qu'on ne sait jamais ce qui peut se passer. Certains colons sont fous ?. Autour de Yaad, ils ont encore des doutes sur la réalité du retrait israélien. ? Certains colons sont venus nous dire qu'ils partaient maintenant mais qu'ils reviendraient dans quelques semaines, affirme Mahmoud. Tant que je ne verrai pas leurs maisons détruites je serai sceptique. ? ? ses c?tés, Khalil est tout aussi dubitatif. ? Peut-être qu'au dernier moment ils resteront. Je ne crois pas en leurs promesses. ? Les plus jeunes, comme Yaad, ne partagent pas ce sentiment. ? Je vois des signes de leur départ. Si c'est le cas, on attendra que l'Autorité palestinienne arrive et on récupérera nos terres ?, précise-t-il. Zyad aussi veut y croire parce qu'il a envie ? que les Palestiniens puissent vivre comme tous les citoyens du monde, dans un pays normal ?. Yaad se veut optimiste pour l'avenir : ? Il y a un peu d'espoir. Mais si après le retrait Isra?l contr?le encore la mer, les airs et les frontières terrestres [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] alors la [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] bande de Gaza sera comme une grande prison. Ce qu'on veut c'est vivre en paix, avoir des relations normales, commerciales, y compris avec Isra?l. C'est comme ?a que le conflit prendra fin. ? Dans ses yeux passe une lueur d'espoir. Né en 1971, il n'a jamais connu que l'occupation, ici, à Al-Mawassi. ? Quand les Israéliens seront définitivement partis, j'irai sur le toit le plus haut d'Al-Mawassi et je planterai le drapeau palestinien. Ce sera la première fois de ma vie ?, promet-il. Zyad, lui, prédit une ? grande célébration à l'endroit où se trouve le check-point qui nous sépare de Khan Younes ?.

Al-Mawassi (bande de Gaza),
Yaad, professeur d'anglais, vit dans une maison
Par un historique retournement de situation, Al-Mawassi, dans la [url=http://www.americatownmovie.com]jordan pas cher[/url] bande de Gaza, où vivent près de 10 000 Palestiniens, est devenue une enclave dans la zone occupée et restée dans les mains des Israéliens malgré les accords d'Oslo, baptisée, Gush Katif. 10 000 Palestiniens (pour la plupart agriculteurs ou pêcheurs) qui vivent des conditions de précarité intenables et dont le seul point d'accès avec le territoire contr?lé par l'Autorité, à Khan Younes, dépend de l'armée israélienne. Ce qui signifie pour [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] ces centaines de familles de longues semaines de bouclage total et une insécurité permanente. La semaine dernière, une dizaine de colons armés ont ainsi été interceptés alors qu'ils marchaient dans les rues d'Al-Mawassi. Il y a un peu plus d'un mois, [url=http://www.getconversational.com]hollister pas cher[/url] un jeune Palestinien a été lynché par des colons qui lui ont écrasé des blocs de rocher sur la tête. Les relations avec l'Autorité palestinienne sont irrégulières, il n'y a pas de municipalité. L'électricité est fournie par deux générateurs qui ne fonctionnent que six heures par [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] jour, surtout le soir, alors qu'en face, dans les colonies, la lumière est si abondante qu'il fait jour en pleine nuit ! Seules deux petites entités médicales fonctionnent. Pour les cas [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] importants il faut transporter les malades à l'h?pital de [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] Khan Younes, attendre le bon vouloir des [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] soldats pendant parfois des heures. ? Al-Mawassi, les premières nouvelles d'un retrait israélien proche se sont traduites il y a dix jours par la fermeture du check-point de Khan Younes. Nombre d'entre eux se sont ainsi trouvés coincés. Les productions [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] agricoles, qui devaient être [url=http://www.jordanpascherofficiel.com]air jordan[/url] vendues sur les marchés de cette grande ville du sud de la bande de Gaza, ont pourri.
P. B.
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ckejyetf9k · Posted: Wed 2:36, 18 Sep 2013 Post subject:

Allemagne : déroute du SPD
Le Parti social-démocrate (SPD) du chancelier Gerhard Schr?der obtenait entre 22 et 23 % (environ 25 sièges) des voix selon les premières estimations (contre 30,7 % en 1999). C'est le plus mauvais score du SPD de l'après-guerre dans un scrutin organisé au niveau fédéral. Le précédent plus bas historique des sociaux-démocrates remontait aux élections législatives de 1953 avec 28,8 % des suffrages. La droite chrétienne-démocrate (CDU-CSU), qui a cherché à surfer sur le mécontentement populaire en jouant y compris de thèmes populistes, obtiendrait entre 45,5 et 46,7 % (une cinquantaine de sièges), en léger recul comparé à 1999 (48,7 %). Les Verts, partenaires de la coalition gouvernementale avec le SPD, tirent leur épingle du jeu, après avoir mené une campagne très recentrée sur des thèmes libéraux et dirigée vers les classes moyennes, ils réaliseraient entre 10,5 % et 11,5 %, contre 6,4 % il y a cinq ans (12 à 13 sièges). Quant au PDS, il réussirait à franchir largement la barre des 5 %, obtenant aux alentours de 6 % (7 sièges), et sera sans doute en légère progression par rapport au scrutin de 1999 (5,8 %). Lui, dont l'une des affiches clamait simplement : " maintenant, ?a suffit ! ", a ainsi pu [link widoczny dla zalogowanych] bénéficier en partie de la défiance à l'égard du SPD et du besoin d'une véritable alternative à gauche. Enfin, les libéraux réussissent, cette fois, à entrer dans le Parlement européen avec, eux aussi, environ 6 % des suffrages (contre 3 % en 1999). Les électeurs ont sanctionné la politique sociale-libérale du gouvernement qui, à travers les orientations programmées dans l'" agenda 2010 " du chancelier, organise en fait un véritable démontage social. Ces réformes taillent en effet pêle-mêle dans les prestations de santé publique, de retraites et de ch?mage, dans un contexte de [link widoczny dla zalogowanych] dérapage des déficits budgétaires. " C'est sans conteste une défaite, le résultat est amer ", a commenté dimanche soir le secrétaire général du SPD, Klaus Uwe Benneter.
Autriche
L'extrême droite s'effondre mais le populisme s'étend. Paradoxe de ce scrutin : après une campagne où tous les grands partis ont fait assaut d'arguments nationaux musclés, voire carrément chauvins et anti-européens, le parti d'extrême droite de J?rg Haider (FP?) s'effondre à environ 6,5 % et ne sera plus représenté [link widoczny dla zalogowanych] à Strasbourg que par un seul député. La droite et le SP? sont au coude à coude avec chacun 34 % (et 6 à 7 députés). La liste du nouveau populiste Hans-Peter Martin crée la surprise et arrive en troisième position avec 14 % des voix (2 députés). Les Verts recueillent 11,3 % des suffrages (deux sièges) tandis que la " plate-forme des gauches ", soutenue par le Parti communiste, n'obtient que 0,6 %.
Chypre
Les communistes d'Akel, piliers de la coalition gouvernementale, arriveraient en tête avec 29,8 % des suffrages, suivis du Disy (droite) avec 25,9 %, selon les premières estimations. Ces deux partis obtiendraient chacun deux députés. Les deux sièges restants reviendraient au Diko (centre-droit) du président Tassos Papadopoulos (15,3 %), et à une liste dissidente du Disy (11,3 %). Les [link widoczny dla zalogowanych] socialistes de l'Edek, partenaires de [link widoczny dla zalogowanych] la coalition au pouvoir, n'auraient aucun député. Malgré le vote obligatoire, la participation (70,4 %) a chuté de vingt points par rapport aux précédents scrutins.
Danemark
Un tiers des voix pour le Parti social-démocrate : le parti de l'ancien premier ministre remporterait cinq sièges sur les quatorze en jeu. Le Parti libéral au pouvoir chuterait à 18,7 % des voix, avec trois sièges contre cinq précédemment. Les formations hostiles à l'UE seraient aussi en perte de vitesse : deux élus contre quatre en 1999. La poussée attendue de l'extrême droite n'aurait pas lieu puisque le Parti du peuple danois ne ferait que conserver son élu. Le Parti conservateur et le Parti radical garderaient eux aussi leur siège, de même que [link widoczny dla zalogowanych] les Socialistes du peuple, le parti de gauche le plus [link widoczny dla zalogowanych] radical.
Grande-Bretagne : Blair sanctionné
Le Parti travailliste (Labour) de Tony Blair chuterait de six points avec 22 % des suffrages contre 28 % aux dernières élections européennes de 1999, selon une enquête effectuée à la sortie des urnes, jeudi, pour la cha?ne Sky News. Les conservateurs (Tories), en passant de 36 % à 22 [link widoczny dla zalogowanych] % seraient les grands [link widoczny dla zalogowanych] perdants de ce scrutin. Le parti de l'indépendance du Royaume-Uni (UKIP), qui a axé sa campagne sur le retrait de la Grande-Bretagne de l'Union européenne, obtiendrait 18 % des voix. Selon ces estimations, le Labour obtiendraient 22 sièges, soit trois de moins, et les Tories, avec ses 21 députés en perdraient six. Les libéraux-démocrates arriveraient en quatrième position avec 14 % des voix. Le recul des travaillistes et des conservateurs profiteraient aux formations des Verts (8 %) et de l'extrême droite (4 %). Les résultats du scrutin européen, qui se déroulait jeudi en même temps que des élections locales, sanctionnent sévèrement les deux grandes formations politiques et plus particulièrement celle de Tony Blair. Ce dernier, contesté jusque dans ses propres rangs, paye la facture de son engagement inconditionnel dans le conflit irakien et sa politique antisociale. Le Labour a perdu plusieurs grandes villes, dont Newcastle et son fief Leeds.
Grèce
Selon les premières estimations, avec 43 % des suffrages, le parti conservateur de la Nouvelle démocratie (au pouvoir) devancerait de dix points le Parti socialiste (Pasok) et obtiendrait 10 députés contre huit pour le Pasok. Le Parti communiste grec (KKE), avec 9,2 % des voix et deux députés, reste la troisième force politique du pays. L'autre formation communiste, Synaspismos obtiendrait un député tandis que le parti d'extrême droite, Laos, (3,5 % des suffrages), pourrait remporter l'un des 24 sièges en jeu.
Pays-Bas
Le Parti chrétien-démocrate (CDA) au pouvoir a limité les dég?ts : avec 24,4 % des voix, il reste le premier parti du pays, juste devant l'opposition sociale démocrate (PvdA, 23,6 %), mais il perd deux de ses neuf sièges. Les deux formations devraient donc envoyer chacune sept députés au Parlement de Strasbourg, sur les vingt-sept représentants néerlandais.
Derrière, les autres partis au pouvoir font aussi les frais de l'essoufflement de la coalition gouvernementale: les libéraux, avec 13 % des voix, [link widoczny dla zalogowanych] passent de 6 à 4 députés, et les socio-libéraux de 2 à 1. À gauche, le Parti socialiste (gauche radicale, membre de la GUE-NGL) progresse très nettement puisqu'il remporte deux sièges contre un précédemment. Deux sièges : c'est aussi le contingent alloué aux écologistes, en forte baisse, et à la liste Europe transparente. Menée par un ancien haut fonctionnaire européen, cette dernière liste prétend faire le ménage au sein des institutions bruxelloises. Elle a attiré beaucoup d'électeurs hostiles à l'Union européenne, au détriment de l'extrême droite traditionnelle. Loin de ses 12 % aux législatives de 2002, la liste Pim Fortuyn recueille 2,5 %. Enfin, à 39 %, la mobilisation est restée très faible même s'il s'agit d'une hausse de neuf points par rapport à 1999.

Lettonie
La droite en tête des sondages sortis des urnes : le parti de droite libérale Mère patrie arriverait en tête avec un peu moins de 30 % des suffrages. En seconde position, la formation de centre droit Nouvelle Ère recueillerait 20 %. Le parti de la minorité russophone (un tiers de la population) aurait obtenu 10 % des voix. Tous sont des partis d'opposition. Les partis de la coalition gouvernementale ne recueilleraient chacun pas plus de 5 ou 6 %.
Malte
Plus de 82 % d'électeurs aux urnes : la petite ?le remporte le record européen de participation. Et l'opposition de gauche eurosceptique se place en tête. Selon des projections provisoires, le Parti travailliste remporterait trois des cinq sièges en jeu, contre deux pour le Parti nationaliste au pouvoir. À moins que la formation écologiste Alternativa Demokratika ne brouille les cartes en remportant un siège.
Slovénie
Encore un pays où l'opposition devance largement la coalition au pouvoir. Mais à Ljubljana, ce résultat constitue plut?t une surprise, dans la mesure où les deux partis de centre gauche au pouvoir (Parti libéral démocrate et Parti démocratique des retraités) semblaient pouvoir limiter les dég?ts. Avec 22,3 % des voix, ils n'obtiendraient finalement que deux des sept sièges en jeu. La droite l'emporterait beaucoup plus largement que prévu avec quatre sièges.
République tchèque
La droite et les communistes sont les grands vainqueurs d 'un scrutin qui constitue une gifle pour le gouvernement de centre-gauche. Ces élections ont confirmé l'impopularité du premier ministre [link widoczny dla zalogowanych] Vladimir Spidla et de ses réformes libérales. Son parti social-démocrate recueillerait à peine plus de 10 % des suffrages et trois des vingt-quatre sièges en jeu. Ses alliés libéraux (US-DEU) ne franchiraient même pas la barre d'éligibilité des 5 %. Les deux grands gagnants de ces élections sont deux formations sceptiques vis-à-vis de l'Union européenne : la droite conservatrice (ODS) du président Vaclav Klaus obtiendrait 31 % des voix et neuf sièges ; le Parti communiste de Bohème-Moravie arriverait en deuxième position avec 17 % et cinq élus. Les sept autres sièges en jeu se partageraient entre diverses formations du centre chrétien ou de la droite, à moins que les Verts tchèques ne dépassent finalement la barre des 5 %.
Espagne
Avec environ 43,7 % des suffrages, le Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE, au pouvoir) arriverait en tête sans toutefois distancer franchement son concurrent direct du Parti populaire (PP, droite), qui obtiendrait 40,9 % des votes. Selon ces estimations, le PSOE aurait 25 eurodéputés contre 23 pour le PP. Les six sièges restants, sur un total de 54 sièges à pourvoir, se répartiraient entre la coalition de gauche IU-ICV-EUIA (communistes et écologistes, 1 ou 2 sièges) et les partis régionalistes (4 à 5 sièges).
Estonie
À peine plus d'un électeur sur quatre a participé à un scrutin où les partis d'opposition ont tiré leur épingle du jeu. Le Parti social-démocrate remporterait deux des six sièges en jeu, de même que deux autres partis de droite. Le mouvement du premier ministre Juhan Parts, Res Publica, et l'autre parti au pouvoir, Union du peuple (gauche), ne remporteraient qu'un siège chacun.
Lituanie
Le Parti du travail, formation populiste du milliardaire Viktor Ouspaskitch, arriverait en tête avec 23,3 % des voix, selon un sondage à la sortie des urnes, au détriment du Parti social-démocrate au pouvoir (12,7 %). Le Parti libéral-démocrate du président déchu, Rolandas Paksas, enregistre le plus mauvais score avec 4,5 % des suffrages.
Portugal
Le Parti socialiste, principale formation d'opposition, crédité entre 43 % et 47 % des suffrages, obtiendrait 12 à 13 députés sur les 24 sièges à pourvoir. Il battrait la coalition gouvernementale (PSD-CDS-PP - droite populiste), avec 32 % à 36 % des voix, soit 8 ou 9 députés. Avec 8 % à 10 % des votes, l'alliance Parti communiste et Verts (CDU) conserverait ses deux députés, voire [link widoczny dla zalogowanych] en gagnerait un troisième. Le Bloc de gauche (BE, extrême gauche), avec 4 % à 6 % des voix, gagnerait un député. Selon ce sondage réalisé à la sortie des urnes, le taux d'abstention oscillerait entre 57 % et 63 %.
Suède
Le Parti de la gauche, membre de la GUE/GVN, remporterait 3 sièges avec 15 % des suffrages. Les sociaux-démocrates au pouvoir obtiendraient 5 à 6 sièges avec 26 %. Les conservateurs, emmenés par Charlotte Cederschioeld, vice-présidente du Parlement sortant, ne totaliseraient que 14,5 % et 3 sièges. Les Verts, partisans du retrait de la Suède de l'UE, obtiendraient 7 % et 1 siège. La surprise viendrait des souverainistes de la " Liste de juin ", qui remporteraient 14 % des voix, soit 3 sièges.
Cathy Ceibe, Paul Falzon, Bruno Odent
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