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, joue de la guitare et chante. Petite princesse punk experte en [url=http://www.jordanpascherofficiel.com]air jordan[/url] martiaux, elle ne conna?t en anglais que le mot noodle (nouille). Le troisième, bagarreur réputé pour se dans des situations délicates avec tout ce qui ressemble à une crapule, est né à Stoke-on-Trent, en Angleterre, et joue de la basse. Le quatrième est né dans le quartier de Brooklyn, à . Ce géant afro-américain à l'air débonnaire est batteur et DJ.
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Ces quatre zigotos forment le groupe Gorillaz. Juste un détail : aucun d'eux n'existe sous forme humaine. Ce sont des personnages nés, en 1998, de l'imagination de , chanteur et multi-instrumentiste du groupe Blur, et de , dessinateur et créateur avec [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] de la bande dessinée , dinguerie issue [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] de la contre- britannique de la fin des années 1980.
Fusillades et embrouilles
Gorillaz, qui existe donc en dessins [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] et en films d'animation, vit diverses aventures sur Terre, sur mer et dans les airs, avec poursuites, fusillades et embrouilles. De temps à autres, ses membres rencontrent des instrumentistes, [url=http://www.getconversational.com]hollister france[/url] des chanteuses et chanteurs, et prennent le temps d' des compositions qui puisent dans à peu près tous les genres des populaires.
Souvent généreux en propositions annexes, Gorillaz nous propose un premier vidéoclip avec la chanson Stylo. Pas la plus intéressante, mais ces aventuriers sans ?ge aux prises avec Bruce Willis - le vrai - est un grand plaisir crétin, qui finit par la chanson. Là se trouve peut-être la force de Gorillaz. Stylo sert ainsi d'amorce à une visite sur le site du groupe (), où sont [url=http://www.jordanpascherofficiel.com]air jordan pas cher[/url] proposés, moyennant un code d'accès disponible dans une édition spéciale de Plastic Beach, des [url=http://www.028qq.org/news/html/?84017.html]air jordan pas cher Agnès Benassy-Quéré On est peut-être en train de sortir de lhégémonie du dollar[/url] images, un jeu, des titres [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] inédits, un concert - où le virtuel et le réel se répondent.
Plastic Beach, de Gorillaz, 1 CD Parlophone/EMI. Edition "Experience" avec 1 DVD et un accès codé à des contenus exclusifs sur le site du groupe.
En 2001, leur premier album Gorillaz s'est écoulé à plus de 7 millions d'exemplaires. Il a été suivi de en 2005, qui a doublé la mise, avec près de 15 millions d'exemplaires. La nouvelle aventure de Gorillaz s'appelle . L'effet de surprise et de nouveauté étant forcément émoussé, le groupe aurait pu d'être encore plus spectaculaire. Mais c'est un album plut?t posé que propose le groupe - dont Damon Albarn ne revendique [url=http://www.myfiber.cn/plus/view.php?aid=25571]woolrich parka LOPEP augmente sa production à 30[/url] [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] pas officiellement l'entière conception.
Le générique d'un album de Gorillaz attire aussi par ses invités. Dans Plastic Beach, le débit, le ton et la personnalité vocale de (Welcome to the World [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] of the Plastic Beach) ou de (Sweepstakes) lèvent bien haut l'étendard du hip-hop. Au rayon ouvertement pop, c'est avec qu'on est le mieux servi dans et To Binge. Les thèmes joués par les [url=http://www.023cqzq.com/home/space.php?uid=27661&do=blog&id=4667]hollister france Licenciements, droits des salari[/url] seuls Gorillaz vont aussi [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] dans cette direction, la plus [url=http://www.getconversational.com]hollister pas cher[/url] aboutie. C?té vétérans du rock, le grognon [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] se caricature lui-même - et c'est un régal -, tandis que et , des Clash, font de beaux restes.
Sa réussite tient aux arrangements et à l'art du détail plus qu'à des chansons évidentes. Les éléments de hip-hop, de rock, de musiques du monde - ici le Moyen-Orient -, de pop et d'électroniques sont moins systématiquement mêlés que dans Demon Days, dont l'aspect feu d'artifice avait fait mouche. Avec Plastic Beach, Gorillaz joue sur les climats propres à chaque genre. On y perd en partie la fantaisie kaléidoscopique des deux albums précédents.