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Cet n’a pas été pris pendant la campagne [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour online shop[/url] présidentielle, mais le 29 septembre dernier, . A la lettre, il était [url=http://www.huashuo365.com/home.php?mod=space&uid=12810][/url] quasiment intenable dès son énoncé.?
Le 23 février [url=http://www.riad-marrakesh.fr]abercrombie pas cher[/url] dernier, une déclaration présidentielle au salon de l’agriculture : "L'année 2013 sera marquée par une progression du ch?mage. [...] Si nous arrivons à [url=http://www.diecastlinks.co.uk]hollister uk[/url] accélérer la reprise, à anticiper [url=http://www.marrakech-hotel.fr]hollister[/url] la reprise, cet objectif peut être atteint." En creux, il laisse entendre qu’il pourrait bien ne pas l’être.
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C’est l’objectif auquel se raccroche désormais le gouvernement : ?Une autre de Fran?ois Hollande, qui a pourtant déjà du plomb dans l’aile.
Le 22 février, [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie pas cher[/url] alors que la Commission européenne annonce 3,7 % de déficit pour la France en 2013, Pierre Moscovici enterre officiellement la promesse de Fran?ois Hollande . Comme le prévoyait originellement le projet présidentiel du PS.
Alerté en fin d’année par et , le gouvernement a maintenu ses objectifs envers et contre tous. Cette détermination tiendra jusqu’à la publication du , le 12 février dernier. Fran?ois Hollande est contraint de reconna?tre qu'"il ne sert à rien d'afficher des objectifs s'ils ne peuvent être atteints".
La (LPFP) votée à l’automne était censée fixer les orientations budgétaires du quinquennat pour atteindre cet objectif.
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Cet du gouvernement Fillon a été repris à son compte par Fran?ois Hollande , quand le projet présidentiel du PS le repoussait à 2014. Réaffirmé par le gouvernement , cet objectif a été inscrit dans la loi de finances 2013 votée à l’automne dernier. Il était alors conditionné à une prévision de croissance de 0,8 %, bien supérieure aux 0,4 % .
Dans l’esprit, faire baisser [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] la dette signifie généralement réduire son poids par rapport au PIB. Or, maintenir le niveau relatif de la dette est un objectif conciliable avec des budgets déficitaires. La croissance et/ou l’inflation peuvent en effet “noyer” la dette, qui reste à valeur constante.
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Seul hic : elle prévoit pour 2017 un déficit de 0,3 % du PIB, [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] et [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]hollister france[/url] non pas 0 %. L’astuce ? Le gouvernement [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] a mis en avant le retour à l’équilibre du déficit structurel, un indicateur qui a [url=http://www.marrakech-hotel.fr]hollister france[/url] pour avantage d’écarter toutes les fluctuations conjoncturelles, comme une croissance molle ou un plan de relance.
Pour tenir l’objectif du déficit zéro en 2017, Fran?ois Hollande a en effet annoncé le 23 février . Il a en 2013, mais pas pour les années suivantes. Selon lui, l’effort se matérialisera surtout par des économies “dans tous les budgets”.
Dette, déficit, imp?ts, ch?mage : en quelques semaines, Fran?ois Hollande a vu nombre de ses promesses compromises par la conjoncture économique. Après avoir longuement lutté, le gouvernement [url=http://www.diecastlinks.co.uk]hollister outlet[/url] est contraint d’abandonner ses objectifs un par un.
Le ministre du budget, Jér?me Cahuzac, avait le 30 septembre dernier qu’il n’y aurait pas “d’effort fiscal supplémentaire” après 2013, “car le président de la République s’est engagé à [url=http://fragrance.8ne.jp/bbs/guest/sunbbs.cgi?mode=form&no=392&page=%252525252525252525252525252525252525252525252525252525252525252525252525252b]barbour outlet Gift Ideas For[/url] la stabilité”. La révision des prévisions de croissance et de déficit pour 2013 pourrait lui donner tort.
“A euros constants, il est impossible de maintenir le niveau de la dette sans équilibre ou excédent budgétaire”, explique Mathieu Plane, économiste à l’OFCE. Avec cinq budgets consécutifs en [url=http://www.pullthemetal.com/2013/07/sandra-chevrier/#comment-208139]Reasons You Might Need A Chicago Podiatry Office - Health Article[/url] déficit sur le quinquennat, le gouvernement ne peut espérer stabiliser la dette fran?aise en valeur qu’à des conditions hautement improbables : en empruntant à des taux fortement négatifs ou en renégociant très avantageusement sa dette.
“Inverser la courbe du ch?mage d’ici à un an”, Fran?ois Hollande l’avait déjà le 9 septembre 2012, . En décembre, le président répète mot pour mot sa promesse : il gagne au passage trois mois en renvoyant l’échéance à la fin 2013.
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Pour que cela fonctionne, le déficit doit toutefois se situer sous la fameuse barre des 3 % : “Une fois cette barre franchie, la dette peut commencer à baisser très vite”, explique Mathieu Plane. C’est ainsi que le gouvernement prévoyait dans sa [url=http://www.sidegemeinde.com/peutereyoutlet.php]peuterey sito ufficiale[/url] loi de programmation pluriannuelle des finances publiques de réduire le poids de la dette à partir de 2014, en le portant de 89,9 % à 82,9 % du PIB en cinq ans. Le report du retour aux 3 % à 2014 risque de compromettre ces bonnes prévisions.
Six milliards d’euros de recettes supplémentaires devront être trouvés dès 2014, selon Jér?me Cahuzac.
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