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Si ces ont pu se quasiment à l'identique le lendemain, la faute en [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] revient à "l'angélisme" des directives, estime David Daems, secrétaire national de FO-Pénitentiaire. "Il aurait d? y des sanctions. Au lieu de ?a, ils ont réintégré leur cellule [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] comme si de rien n'était."
Surpeuplées, les prisons franciliennes comme Fresnes renvoient régulièrement leurs détenus leurs peines dans ce centre. Fin 2012, l'histoire rocambolesque de Stéphane Raye, surnommé "l'évadé de Ch?teaudun" – qui n'était jamais [url=http://www.mquin.com/saclancel.php]lancel[/url] rentré de permission de peur d'être tué par ses codétenus –, avait souligné l'insécurité qui y règne. "Les dealers tiennent la taule, ceux qui leur résistent se font massacrer", avait alors raconté Stéphane Raye. Comme en juillet 2006, où un prisonnier de 29 ans est mort poignardé par un codétenu. Ou en janvier 2011, lorsqu'un surveillant de 37 ans s'est suicidé après [url=http://www.mnfruit.com/doudounemoncler.php]moncler[/url] été agressé à [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie pas cher[/url] cinq reprises.
Avec cette série d'incidents, la tentation est forte chez les syndicats pénitentiaires de des conclusions politiques et de , au [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] passage, la réforme pénale voulue par la garde des sceaux, qui prévoit de avec le [url=http://www.hzmyxx.com/wygkcn_GuestBook.asp]abercrombi[/url] "tout carcéral". "Au [url=http://www.xthtyxx.com/wygkcn_GuestBook.asp]abercrombi[/url] vu des messages d'impunité envoyés par , les mutins n'ont pas eu de mal à fédérer à nouveau", affirme-t-on ainsi au Snepap.
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Comment ces deux émeutes rapprochées à Ch?teaudun, alors qu'une autre était survenue lundi 19 ao?t dans la maison d'arrêt de Blois ? Une soixantaine de détenus avaient mis à sac un secteur de la prison après la mort d'un détenu en cellule.
Une situation qui inquiète. Jean-Marie Delarue, le contr?leur général des lieux de privation de liberté, doit [url=http://www.jordanpascherofficiele.com]air jordan pas cher[/url] à la chancellerie dans les semaines à un rapport sur la sécurité à Ch?teaudun.
de détention de Ch?teaudun (Eure-et-Loir), répartis dans deux cours pour la promenade, se sont réunis de chaque c?té du grillage et l'ont fait . Ils se sont ensuite dirigés vers la zone neutre de la prison, saccageant les grillages qui leur barraient la route. Avant [url=http://www.jordanpascherofficiele.com]air jordan[/url] de les surveillants, qui ont répliqué par des tirs [url=http://www.zichuanzhengxie.gov.cn/E_GuestBook.asp]giuseppe z[/url] de Flash-Ball. Les mutins furent ma?trisés en fin d'après-midi par les équipes régionales d'intervention et de sécurité appelées en renfort.
Aucune revendication ne semble des violences à Ch?teaudun, un centre de détention [url=http://www.louboumaterialistanyc.com]louboutin pas cher[/url] rural créé en 1991, épargné par la surpopulation qui gangrène les fran?aises. Ici, on compte 587 détenus pour 600 places.
"PH?NOM?NE DE 'BANDES'"
"De nombreux détenus qui étaient à l'origine de la mutinerie de Blois ont été transférés là. Ils ont certainement voulu ?a, explique , secrétaire général adjoint du syndicat Snepap. La crainte, c'est que les mutineries se répandent. "
Pourtant, cette double [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbourparis.php]barbour paris[/url] mutinerie n'"étonne pas du tout" Fran?ois Korber, délégué général de l'association de des prévenus Robin des lois. Elle est selon lui symptomatique du "concentré de l'ultraviolence" qu'accueille la prison. "Depuis dix ans se déverse là toute la misère de l'. L'établissement est composé à 80 % de jeunes des cités de la banlieue parisienne, qui y transposent leurs codes, la violence, le non-droit", souligne l'ex-détenu de Ch?teaudun.
"C'est la seule prison où les gendarmes sont obligés de les familles sur le parking pour éviter qu'elles ne subissent trop de pressions de la part des complices des détenus", reprend Fran?ois Korber. Dans ce centre où l'on effectue surtout des peines inférieures à un an, [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] "les carottes habituelles pour les détenus, les de tel ou tel objet de l'extérieur ou leur une permission ne marchent pas", poursuit-il.
La veille, une vingtaine de détenus avaient escaladé les grillages de la même cour de promenade et s'étaient dirigés vers un poste de commandement du système informatique qu'ils avaient tenté d'. N'y parvenant pas, ils avaient grimpé sur les toits et lancé des dalles pour les vitres. Cinq d'entre eux avaient été placés en garde à vue. Certains avaient atterri au quartier disciplinaire.
Stéphanie Tenaillon, à la direction de l'administration pénitentiaire (DAP), confirme qu'il peut y "des phénomènes de "bandes"". "L'administration pénitentiaire lutte contre ces phénomènes, ce qui peut parfois de l'agitation en détention." La DAP refuse le terme de "mutinerie" pour Ch?teaudun et préfère celui d'"émulation".