a takie forum

ckejyetf9k

Et cette activité est soumise en Iran aux inspections de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). Certes, ces inspections sont bridées par un accord de garanties obsolète, datant des années 1970. Mais il est vrai aussi que l'AIEA n'a jamais relevé en Iran de détournement de matières nucléaires à des fins militaires.
Les cinq membres permanents du Conseil de sécurité et l' doivent certainement la pression sur les questions de droits politiques et de droits de l'homme, mais aussi s' à régler une question entêtante et urgente de prolifération. Nous réduirions ainsi une source importante de tension dans une région qui aspire plus que jamais à la tranquillité.
Reste un dilemme assurément présent dans la tête de beaucoup de [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] nos dirigeants. Pourquoi au régime iranien une ouverture qui pourrait l' à sa légitimité interne et internationale ? Ne vaut-il mieux pas que [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] lui succède un régime plus présentable ? C'est une vraie question. Mais c'est peut-être exagérer l'effet de cette négociation nucléaire sur des évolutions intérieures bien plus profondes. Ronald Reagan qualifiait l'URSS d'"empire du mal". Il a néanmoins intensément négocié avec le président Mikha?l Gorbatchev en matière de désarmement nucléaire. Doit-on lui d' retardé le cours de l'Histoire ?
() ;
Steen Hohwü-Christensen () ;
Paul von Maltzahn (Allemagne) ;
Guillaume Metten () ;
Fran?ois Nicoullaud (France) ;
Roberto Toscano ().
Aujourd'hui, une majorité d'experts, y compris en , semble plut?t que l'Iran cherche à se en "pays du [url=http://www.mylnefieldanalysis.co.uk/barbour.html]barbour factory shop[/url] seuil", techniquement capable de une bombe, mais se retenant de le . On peut à bon droit le mais rien dans le TNP, rien dans le droit international, n'interdit une telle ambition. D'autres pays que l'Iran, engagés comme lui à ne jamais se de l'arme [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] nucléaire, ont déjà atteint un tel seuil, ou sont en passe d'y [url=http://www.mansmanifesto.com]doudoune moncler homme[/url] . Ils ne sont pas inquiétés.
En droit , la position de l' et des Etats-Unis est moins solide qu'il n'y para?t. Elle s'incarne, pour l'essentiel, en une série de résolutions votées au Conseil de sécurité qui font référence au chapitre VII de la Charte des Nations unies, autorisant la mise en oeuvre de mesures coercitives en cas de "menaces contre la paix".
. Le long enlisement de ce dossier nous est inacceptable. Le monde arabe et le Moyen-Orient entrent dans une nouvelle époque. Aucun pays n'y est à l'abri du changement. La République islamique d' subit la désaffection de la meilleure [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] part de sa . Partout, de nouvelles perspectives se dessinent. Les périodes d'incertitude sont propices aux remises en question. Le moment est venu de le sur la question nucléaire iranienne.
Et là, ou nous avons confiance dans la capacité de l'AIEA à tous ses Etats membres, Iran compris. Ou nous ne lui faisons pas confiance, et l'on se demande pourquoi une organisation efficace avec les seuls pays vertueux. De fait, la première étape serait sans doute pour les deux parties de ensemble à l'AIEA ce qui lui para?trait nécessaire pour contr?ler pleinement le programme nucléaire iranien et de fa?on crédible qu'il est [url=http://cgi.ebay.com.au/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&item=140732749694]mulberry sale Lécrivain en ré[/url] bien pacifique dans [url=http://www.highranda.com/bbsb/honey_f.cgi]nike air jordan pas cher Disc[/url] toutes ses dimensions. Sur la base de sa réponse, une [url=http://www.eastscotinvest.co.uk/mulberry.html]mulberry outlet[/url] négociation pragmatique pourrait s'.
Mais à l'époque, les Européens et les Américains voulaient l'Iran à à son programme d'enrichissement. Et au moins dans l'esprit des Iraniens, le même objectif plane toujours derrière l'insistance du Conseil de sécurité à la suspension de toutes leurs activités d'enrichissement. Avant d' ce pays de la négociation, il est temps d' que l'objectif "zéro centrifugeuse opérant en Iran", a tout d'une prétention irréaliste, et a conduit à l'impasse actuelle.
Mais, nous dit-on, c'est la mauvaise volonté de l'Iran, son refus de sérieusement [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] négocier, [url=http://www.rivaluta.it/css/moncler.html]moncler sito ufficiale[/url] qui ont obligé nos pays à le tra?ner en 2006 au Conseil de sécurité. Là encore, les choses sont moins claires. Rappelons qu'en 2005 Téhéran était prêt à d'un [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] plafond au nombre de ses centrifugeuses et à le taux de son enrichissement très au-dessous des hauts pourcentages d'intérêt militaire. Il se montrait disposé à en oeuvre le protocole additionnel de l'AIEA, autorisant des inspections intrusives sur l'ensemble de son territoire, même sur des sites non déclarés.
L'échec de la rencontre de janvier à Istanbul et le décevant échange de lettres entre les deux parties qui a suivi mettent en relief les difficultés de sortie d'un aussi long blocage. Sur la méthode, plus la négociation sera discrète et technique, plus elle aura de chances d'. Sur le fond, [url=http://vasko.olympe.in/index.php?file=Forum&page=viewtopic&forum_id=1&thread_id=6885]hogan outlet Associations sociales halte aux subventio[/url] l'on sait déjà que toute solution se construira sur la qualité du dispositif d'inspection de l'AIEA.
Mais où est la menace ? Serait-ce l'enrichissement d'uranium dans les centrifugeuses iraniennes ? Il s'agit certes d'une activité nucléaire [url=http://www.re-tek.co.uk/abercrombie.html]abercrombie and fitch[/url] sensible, menée par un pays sensible, dans une région elle-même très sensible. La préoccupation exprimée par la communauté internationale est légitime et l'Iran a un à la fois moral et d'y répondre. Mais rien dans le droit international, rien dans le traité de non-prolifération (TNP) n'interdit en son principe une telle activité. D'autres pays que l'Iran, signataires ou non du TNP, s'y adonnent sans être accusés de la paix.
La "menace contre la paix" serait-elle dans l'avancement d'un programme clandestin de construction d'une arme nucléaire ? Depuis au moins trois ans, la communauté américaine du renseignement ne retient plus cette hypothèse. Son directeur, James , témoignait en février au Congrès : "Nous continuons à que l'Iran garde ouverte l'option du développement d'armes nucléaires... Toutefois, nous ne savons pas si l'Iran décidera finalement de des armes nucléaires... [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] Nous continuons de que le processus de décision de l'Iran en matière nucléaire est guidé par une approche en termes de co?ts et d'avantages, ce qui offre à la communauté internationale des occasions d' l'Iran."

ckejyetf9k · Posted: Fri 7:23, 13 Sep 2013 Post subject:

Mais tout cela n'ébranle pas le bel optimisme du président d'Arianespace, persuadé d'être en tête pour longtemps dans la lutte pour le marché des lancements. "Les Chinois et les Soviétiques peuvent des marchés gr?ce aux prix de dumping, mais leurs lanceurs sont adaptés à leurs programmes propres, et ils n'ont pas [link widoczny dla zalogowanych] les mêmes critères commerciaux que nous", explique M. d'Allest. Les fusées américaines, qui ont fait leurs preuves, n'en sont pas moins dérivées de missiles militaires. Et si le Pentagone, client principal des firmes privées d'outre-Atlantique, apporte des revenus s?rs et réguliers, son hégémonie rend difficile revers de la [link widoczny dla zalogowanych] médaille une gestion efficace : le premier lancement commercial d'un Titan-3, le 31 décembre dernier, a ainsi été reporté pour la place à des tirs militaires, prioritaires. "A contrario, souligne M. d'Allest, nous sommes les seuls au monde à une cohérente de produit. Les lanceurs Ariane sont développés avec pour souci majeur de aux besoins du client, exactement comme chez les d'automobiles." [link widoczny dla zalogowanych] Cela peut même très loin : Ariane-5, la version qui succédera aux Ariane-4 actuelles, ne volera qu'en 1995 au plus t?t. Mais, révèle M. d'Allest, "Arianespace a déjà mis sur pied une équipe qui court le monde pour la présenter aux futurs clients, des discussions sont en cours avec les fabricants de satellites, et les premières propositions de lancement d'Ariane-5 en prévision de la signature de contrats pourraient dès l'an prochain".
Pour M. d'Allest, l'Atlas-2, qui pourra des charges utiles de 2,5 à [link widoczny dla zalogowanych] près de 4 tonnes, risque de le concurrent le plus sérieux pour Ariane. Les Titan-3 [link widoczny dla zalogowanych] auraient, eux aussi, pu être extrêmement dangereux, mais la firme Martin Marietta semble décidé de se en priorité sur le marché militaire. Quant au Thor-Delta, "c'est lui aussi un très bon lanceur, mais il est un peu à bout de souffle techniquement, et McDonnell Douglas devra de très gros investissements" pour le vraiment compétitif dans les années à , estime M. d'Allest. A moins de [link widoczny dla zalogowanych] se sur le créneau de plus en plus réduit des "petits" satellites, de 1 200 à 1 500 kilos.
à leader mondial du marché des lancements de satellites civils à la fin de la décennie qui s'amorce." M. Frédéric d'Allest, président d'Arianespace, aborde les années 90 avec un moral d'acier. Il a des raisons pour cela. Mais si la prééminence de la firme européenne de transport spatial ne risque effectivement pas trop d'être menacée à court terme (trois ans), la concurrence américaine, mais [link widoczny dla zalogowanych] aussi japonaise, soviétique et chinoise, aff?te ses armes...
Pour Arianespace, 1989 a été un bon millésime. L'entrée en service commerciel d'Ariane-4, la nouvelle version lourde du lanceur européen, s'est déroulée sans problème, et la société, qui fêtera ses dix ans [link widoczny dla zalogowanych] en mars prochain, se porte mieux que jamais. Son carnet de commandes compte trente-deux satellites, autant qu'elle en a mis sur orbite depuis sa fondation, et "les perspectives sont sérieuses pour la signature de dix à douze autres contrats en 1990", indiquait M. d'Allest, jeudi 3 janvier, en exposant les résultats de sa société. Arianespace a réalisé en 1989 un chiffre d'affaires de 3,79 milliards de francs, pour un résultat net de 130 millions de francs. Dix satellites ont été lancés, avec sept fusées (dont six tirées entre janvier et ao?t). Parmi eux, le plus gros satellite commercial jamais construit, Intelsat-6 (4,24 tonnes). Et surtout les premiers engins des toutes nouvelles s privées de télécommunications spatiales japonaises JCSat et SCC, qui avaient choisi Ariane pour leurs lancements inauguraux. Une référence de choix ! Concrétisation de cette belle santé, Arianespace n'a pas craint de commande, en février dernier, de cinquante Ariane-4 aux industriels européens, un contrat [link widoczny dla zalogowanych] de 18 milliards de francs, qui constitue une première mondiale dans le domaine des lanceurs civils.
UN CONCURRENT S?RIEUX
Pendant ce temps, [link widoczny dla zalogowanych] les concurrents américains accumulaient les revers. Echecs, problèmes techniques, difficultés commerciales : les sociétés privées chargées [link widoczny dla zalogowanych] par l'ancien président Reagan, après l'explosion de la navette , en 1986, de les fusées "classiques", ont toutes les peines du monde à leur mission. Première à bien haut [link widoczny dla zalogowanych] ses ambitions, la firme Martin Marietta, qui exploite les Titan, a bien re?u une commande de cinquante lanceurs de l', et annon?ait six contrats commerciaux en juin dernier. Mais, affirme M. d'Allest, elle n'a enregistré aucune commande commerciale depuis deux ans. Le Pentagone reste [link widoczny dla zalogowanych] également le client presque exclusif de la société McDonnell Douglas et de ses Thor-Delta : vingt et un exemplaires (des satellites de navigation Navstar) pour cinq contrats commerciaux seulement. General Dynamics, enfin, qui exploite les fameux Atlas-Centaur, compte et soixante-deux fusées d'ici à 1997. Il dispose lui aussi de solides commandes militaires (onze fusées commandées), mais a déjà signé sept contrats commerciaux fermes, dont un avec la Société européenne de communications par satellites Eutelsat.
Le , quant à lui, a sous-estimé la croissance de la taille des satellites : son lanceur LH-1 (550 kilos de charge utile en orbite géostationnaire) est trop peu puissant, et le LH-2, qui pourrait Ariane, ne sera probablement pas prêt avant 1995. En revanche, une concurrence sérieuse appara?t à l'Est. L'URSS offre les de son lanceur Proton, qui fonctionne comme une horloge et dont la réputation n'est plus à , mais qui, estime M. d'Allest, "montre quelques problèmes de fiabilité et de précision d'injection en orbite géostationnaire". Pour le président d'Arianespace, la constitue en revanche un concurrent beaucoup [link widoczny dla zalogowanych] plus dangereux. Son lanceur Longue Marche, d'une comparable à celle d'Ariane, semble promis à une belle carrière. Les Chinois viennent d'ailleurs d' du gouvernement américain l'autorisation d'exportation indispensable pour qu'ils puissent prochainement trois satellites de fabrication américaine. Chinois et Soviétiques inquiètent les opérateurs de fusées occidentaux en raison des tarifs qu'ils proposent. "Des prix de dumping qui n'ont rien à avec le marché", affirme M. d'Allest. Les Américains et les Européens s'efforcent actuellement de à leurs concurrents de l'Est des "règles [link widoczny dla zalogowanych] de conduite" qui leur imposeraient de les lois de l'offre et de la demande "capitalistes", faute de quoi des mesures de rétorsion pourraient être prises, comme, par exemple, le refus systématique de l'autorisation d'exportation des satellites.