a takie forum

ckejyetf9k

En dix ans, le nombre d’élèves issus de familles défavorisées a bien augmenté, ce qui était l’un des objectifs des CEP. Mais [url=http://www.skoda-witzke.de/woolrichoutlet.php]woolrich outlet[/url] leur part reste ultraminoritaire. Celle des enfants d’agriculteurs, d’ouvriers et d’employés a bien triplé depuis 1997, de 4,5% à 13% cette année, mais elle reste minime au regard de [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]www.tagverts.com/barbour.php[/url] leur poids dans la population fran?aise. La part des professions intermédiaires progresse également de trois points. Mais celle [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour pas cher soldes[/url] des CSP +reste, elle, ultramajoritaire, aux alentours de 70%. Bref, Sciences Po n’a que marginalement renouvelé l’origine sociale de ses étudiants.
Les fils d'ouvriers et d'employés n'ont pas déferlé sur Sciences Po depuis dix ans. Ils ont tout juste réussi à se faire une meilleure place ! Tel est le bilan, en demi-teinte, des (CEP), [url=http://www.tileproject.net]barbour sale[/url] cette voie alternative de recrutement dans des lycées de zones défavorisées, lancées en grande pompe en 2001. Si 860 étudiants, issus [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] de 85 lycées à travers le territoire fran?ais (Dom-tom compris), ont eu la chance de rejoindre la Rue Saint-Guillaume, le bilan est tout de même plus contrasté, car la sociologie étudiante de Sciences Po n'a pas été modifiée radicalement depuis dix ans.
Encore du travail
Philippe Jacqué
Dans le même temps, l’établissement a vu cro?tre [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] le nombre d’étudiants boursiers de 6 % à 27 % des inscrits. Mais cette hausse est en partie factice : elle est consécutive à l’augmentation générale, dans le supérieur, du nombre d’étudiants (un statut qui permet [url=http://kaku.be-sp.com/pbbs/joyful.cgi?mode=res++++++++++++++++++++result]louboutin Hollande veut des [/url] à un étudiant de classe moyenne d’être exempté des droits d’inscription). "Si l’on a vu effectivement augmenter ces boursiers à taux zéro, on remarque également une [url=http://www.takeahikeformike.com/leave-a-message-for-mike#comment-194330]Le pas en avant des lefebvristes vers lEglise[/url] augmentation significative des boursiers à taux 5 et [url=http://www.zt2cn.com/home.php?mod=space&uid=1263287][/url] 6, les bourses promises aux étudiants les plus en difficultés [augmentée de 75 % par Sciences Po]. Et cela, gr?ce aux CEP", précise Richard Descoings.
Les CEP ont avant tout permis de préserver un peu de diversité sociale au sein de l’établissement. "Sans les CEP, la situation sociale de SciencesPo aurait été encore pire: par exemple, dans la cohorte 2009, la part des CSP +serait passée de 69,5% à 77%, et celle des CSP – aurait décru de 12,5 % à [url=http://www.lotogame.fr/hollisterfrance.php]hollister france[/url] 7 [url=http://www.anepf.fr]doudoune moncler pas cher[/url] %", relève Vincent Tiberj. "Pour une école de son niveau, SciencesPo est relativement ouvert socialement, mais les conventions éducation prioritaire ne permettent pas de combler l’écart avec l’université", complète le sociologue. La sociologie de l’IEP se rapproche toujours plut?t, aujourd’hui, de celle d’une classe préparatoire aux grandes [url=http://www.ttcarpets.co.uk]mulberry outlet[/url] écoles (15% [url=http://www.dearilievi.it]moncler outlet[/url] d’enfants d’ouvriers et d’employés) que de celle de l’université (20%).C'est un premier pas, [url=http://www.lotogame.fr/louboutin-pas-cher/]louboutin pas cher[/url] qui en appelle d'autres. Richard Descoings ne s'en cache d'ailleurs pas : "nous devons poursuivre notre travail".
Environ 130 étudiants entrent désormais chaque année à Sciences Po gr?ce au CEP, soit environ environ 10% des effectifs de première année (qui culmine désormais entre 1300 et 1500 étudiants). Cela a permis en partie de faire venir un nouveau public, avec de nombreux binationaux ou des enfants dont les parents sont nés à l'étranger. Mieux, l'établissement constate dans une étude réalisée par le (de Sciences Po) que ces élèves réussissent aussi bien que leurs camarades entrés [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin[/url] par la voie classique. Mieux, ils réussissent mieux leur insertion professionnelle. "A la sortie de l’école, ces étudiants sont considérés par les entreprises exactement comme [url=http://www.achbanker.com/hollister.php‎]hollister france[/url] les autres dipl?més. Ce n’était pas gagné d’avance", salue Richard Descoings, le directeur [url=http://www.fayatindia.com/giuseppe-zanotti.html]giuseppe zanotti[/url] de Sciences.
La part de enfants d'ouvriers triple de [url=http://www.marrakech-hotel.fr]hollister france[/url] 1,5 à 4,5 %